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À
l'Assemblée Jour 4 - Jeudi 24 juillet
S’adressant à la Dixième Assemblée de la Fédération luthérienne mondiale (FLM) réunie à Winnipeg (Canada) du 21 au 31 juillet, le Cardinal Walter Kasper, président du Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens, s’est réjoui de pouvoir « y saluer de nombreux amis ». Rappelant la signature de la Déclaration commune sur la doctrine de la justification, à Augsbourg (Allemagne) le 31 octobre 1999, il a souligné que depuis lors « les relations entre catholiques et luthériens ont gagné en qualité ». « Nous nous sommes tendus la main, dit-il, et nous ne reviendrons pas en arrière et de la lâcher de nouveau. » Le moment est donc venu de poser la question : Et maintenant où allons-nous, quelles seront les prochaines étapes ? > Cliquez ici pour consulter l’article complet. > Cliquez
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salutation complet
du Cardinal Walter
Kasper.
L’évêque
Wesley W. Kigasung,
de l’Église évangélique luthérienne de Papouasie
Nouvelle-Guinée, en réponse à
l’allocution
de l’évêque Margot Kaessmann : « Il nous faut
écouter les cris du monde et apprendre à voir son propre
contexte, à voir le monde avec les yeux et l’amour de Dieu. Et
nous devons, comme le soulignait déjà Kaessmann, considérer en
même temps la faiblesse et la toute-puissance de Dieu. Quand
nous acceptons l’expérience de la croix comme faisant partie de la
vie, cette expérience doit nous donner le courage et le désir de
vivre concrètement la croix dans ce monde qui résonne du cri des
blessures ».
Madame Virginia Ivañez de Neyeloff, une laïque de l’Église évangélique luthérienne du Venezuela, en réponse à l’allocution de l’évêque Margot Kaessmann : « Les racines de la violence conjugale et des violences et exclusions subies par les femmes sont culturelles - et même religieuses. C’est pourquoi la lutte pour l’égalité et la reconnaissance de la dignité des femmes est difficile et se heurte à de nombreuses résistances. Le document ‘Les Églises disent Non à la violence faite aux femmes’ doit être suivi par une formation et une conscientisation aux les droits de la personne. » > Cliquez ici pour consulter l’article complet.
Lors de l’étude biblique de ce jeudi des participants et participantes d’Europe centrale et de l’ouest ont mimé l’histoire de l’onction dans la maison du pharisien Simon, d’après l’évangile de Luc 7, 36-50. Sous le titre « pardonne et guéris » ils ont su rendre plastique et actuelle l’histoire de la rencontre entre Jésus et une femme qui a oint ses pieds d’huile et les a essuyés de ses larmes.
A l’ordre du jour de la Dixième Assemblée de la FLM figurent de nombreuses séances plénières, des discussions en « groupes villages », des rencontres régionales, des études bibliques. Aussi, une invitation à un moment de détente est-il apprécié de tous les participant(e)s. Tous et toutes sont invités au « puits de Mirjam », un lieu pour se reposer, pour engager la conversation, autour d’un café, d’un rafraîchissement ou d’un massage. Beaucoup y viennent simplement pour apprécier le silence au milieu de l’activité débordante de l’Assemblée.
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